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YOKO ? OH NO ! 

A la croisée des influences entre Beatles, Arctic Monkeys et NoFX, voici venus Yoko ? Oh no ! et leur premier LP, Tattoos & Chlamydias, écrit autour de bonnes bouteilles dans les ambiances tamisées, pour un résultat à la fois intime et enjoué, reflet de la complicité qui unit Stone, Tim et John Lemon sur scène comme à la vie. 

Tattoos et Chlamydias : plus qu'un titre, une ode à un mode de vie décousu, passant de rencontres heureuses à ruptures douloureuses au fil de conduites à risques et autres rapports non protégés, que le groupe confesse en dix pistes pour s'absoudre de ses péchés et entreprendre sa propre thérapie. 

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Un hommage teinté de nostalgie à un punk qui semble désormais loin à ceux que la vie a assez rongé pour en faire des artistes de génie – on pense à Anton Newcombe ou Pete Doherty – mais qui,
n’ayant pas eu la bonne idée de rejoindre le club des 27, traînent à présent leur visage bouffi et leur carcasse fatiguée dans ce No future qu’ils n’étaient pas censés connaître mais qui existe bel et bien, à leur plus grand regret.

 

Entre rock anglais et le punk californien, les Yoko ? Oh no ? ne se posent pourtant pas en héritiers de ces mouvements et jouent aussi dans l’espoir d’adoucir les mœurs, à travers des balades comme « Last Waltz » ou des morceaux plus pop tel que « Alone ». En bref, trois garçons en costumes ecclésiastiques pour un LP aux sonorités éclectiques.

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